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Historique

La Compagnie est née en 1988

dominique sandrine argile theatreAprès avoir travaillé sur des créations originales contemporaines : UN ANGE EN ENFER (1989/90) et MALGRE LA NUIT (1992/93) de Dominique Davin, ainsi que sur une création collective PAX MORTIS (1991/92), la Compagnie se lance dans une recherche à long terme sur"la puissance d'évocation et de créativité du verbe théâtral" (selon les théories du théâtre rhapsodique de Myczyslaw Kotlarczyk à Varsovie). Une première concrétisation de cette approche théâtrale originale se fait avec une série de lectures publiques mises en espace (1993/94).

La maîtrise et la précision du jeu de l'acteur sont alors approfondies avec la création de L'AMANT d'Harold Pinter pour la saison 1994/95.

Ce travail est poursuivi et précisé en 1995/96 dans une co-production avec le Théâtre du Sarment : LA PASSION EN TROIS DIMENSIONS.

  • Pour la saison suivante 1996/97,
    Un nouveau cycle de lectures publiques mises en espace est présenté (toujours en application des théories du théâtre rhapsodique).

  • Pour la saison 1997/98,
    ARGILE THEATRE s'affronte à un auteur classique… et quel auteur !… MOLIERE : "LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS" est mis en scène pour le Festival d'Avignon 1998.

  • La saison 1998/1999 :
    C'est un nouvel approfondissement et un travail de fonds sur la parole théâtrale rhapsodique sur le texte "LES FLEURS DU MAL" de Charles Baudelaire.

  • 1999/2000
    Même travail que la saison précédente sur "LE CANTIQUE DES CANTIQUES"

Présentation de la compagnie Argile Théâtre

Griffe Argile ThéâtreContacter Argile Théâtre : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

ARGILE THÉÂTRE

Un lieu où toute PAROLE D'ARGILE, donc nécessairement fragile et sensible, est privilégiée, notamment dans une approche poétique et symbolique, préférant toujours défendre un répertoire peut-être difficile, mais porteur d'une puissance d'évocation humaine et spirituelle.

Dans l'argile de ce théâtre, nous essaierons, par notre travail et nos réalisations, de laisser comme une empreinte de notre passage, sans orgueil, sans prétention, mais comme un clin d'œil, ou plutôt, et davantage : comme un coup de griffes… furtif et discret.

Un coup de griffes : sans agressivité ni violence, mais instinctif et vital !